Voici enfin un petit compte-rendu de mon Duathlon Sprint de Cesson du 1er Mai.
Compétition très relevé, avec 72 partants.
Un compte-rendu fort en image, grâce à ma chérie présente et aussi aux nombreux photographes du TOCC présent sur le parcours.
La Course
Pour rappel, le format de cette compétition est donc sprint soit 5km à pied, 20km en vélo et 2,5km à pied. Cela doit donc se faire à fond. Et ce fut le cas. Dès le début la course est parti très vite. J’essaye de garde un rythme élevé histoire de me placer assez proche du 1er petit peloton. Au loin devant ce peloton, je vois 3 ou 4 jaunes fluo prendre la large…. la vache… je regarde mon cardio, l’allure est très rapide, (entre 3min20/km et 3min40/km), mon coeur monte souvent au dessus de 180. » La vache si avec ça je n’ai pas une crampe, je comprends pas ».
Je boucle donc les 5km de la CAP1 en 17min32 soit du 3min30/km. Une FC moyenne a 181. Le max a été de 188. Je suis alors 31ème.
Le vélo arrive donc… je fais comme je peux en transition, je découvre un peu… Les gestes sont loin d’être automatiques. En vélo, je vais commencer assez ford en essayant de remonter. Mais le parcours étant très roualnt et assez venteux, il aurait été préférable de rester plus dans les roues. En effet qui dit duathlon court, dit autorisation de prendre des roues, contrairement à Gourin… Bref sur les derniers kms. Je vais sentir une crampe s’installer sur mon mollet droit (mince j’ai plus d’eau dans le bidon, j’aurai du mettre 2 bidons !!!!). Un petit groupe, auquel j’avais fosser compagnie, me rejoins donc sur la fin…. su-per.
Résultat : transtion 1 et 20km de vélo réalisé en 32min01. C’est le 31ème temps. J’ai réalisé un gain de 4 places.
La 2ème transition est un peu plus laborieuse. La descente du vélo étant un peu plus compliqué avec ce début de crampe. Je me fais doublé un peu durant cette transition. Je prends le temps de m’étirer la jambe en sortie de parc…. Enfin, j’ai pensé à le faire quand j’ai vu un collégue le faire devant moi… Pour lui, pas de chance il renoncera quelques mètres plus loin. Je commence les 2,5 derniers km en essayant de détendre ma jambe gauche, et en la remontant beaucoup à l’arrière (taper les fesses). Ca devrait passer…. Mais je n’ose pas trop forcer.. De plus sans aller trop vite, le rythme cardique reste assez élevé. (176 de moyenne pour cette partie). Problème surmant lié à a transition de l’effort…. Il faut savoir se relacher (dixit conseil d’après course). Pour tout le monde les vitesses seront bien inférieur sur cette partie que sur la première cap… On a vraiment tot donner au début !
Je réalise donc la Transition + les 2.5km en 13min07. Une allure moyenne surement vers les 3min50/km (je ne connais pas vraiment mon temps de transition). C’est le 36ème temps. Je perds sur cette partie 3 places.
Content de moi pour cette première sous ce format. Je pense avoir trop fait le fou en vélo pour rien…. Sur ce genre de format, avec le fait de pouvoir drafter, ca ce joue pas mal sur la CAP quand même.. Sauf pour les premiers capables de creuser l’écart en vélo. Mais personellement, je n’avais plus grand chose pour la fin. Il faut dire que j’ai fait un temps vraiment énorme sur la CAP 1. Mon classement vient donc aussi d’une très bonne course à pied. C’est très prometteur quand on voit les 2mois et demi de galère que j’ai connu sur ce point de Janvier à Mi Mars. L’entrainement en cap s’est vraiment installé à partir de début Avril.. Depuis, ça progresse très vite : 10 km de Nantes en 39min05 2 semaines auparavant, et maintenant 5km en 17min32…. Je suis impressionné ! Il faudrait tenter de ressortir ces 5km sur la fin d’un 10km…
Bref, très émoussé par le duathlon, je me suis alors fixé un triathlon cool pour le lendemain : à 380 ca risque d’être la grosse bagarre en natation, pour une première je sais que je vais avoir du mal…. en vélo, j’ai compris qu’il ne servait pas à grand chose de partir, autant en garder pour les 5 derniers bornes à pieds… et la, si je suis pas trop fatigué, j’essayerais de remonter un peu… mais je ne pense pas me dépasser autant que sur le duathlon…
Au final, 1h02:37 pour un premier…. ca va être dur de faire mieux la prochaine fois…. le prochain sprint ? surement en 2010.
Les n’informaticiens auront compris le titre. Bref petit post rapide avant de plus amples compte-rendu sur ce week-end chargé… avec des courses très relevées…
Duathlon Sprint (5km/20km/2.5km)
72 partants, Je me classe 30ème en 1h02:37 à 7min29
CAP 1 : 5km en 17min32 (31ème temps)
T1 + Vélo : 20km en 32min01 (31ème temps, gain de 4 places)
T2 + CAP 2 : 2.5km en 13min07 (36ème temps, perte de 3 places)
Le départ a été super rapide, comme on peut le voir avec les différences de vitesses en CAP 1 et CAP 2, ce qui a été le cas pour tous. A noter tout de même un beau 3min30/km sur la CAP1… Ma fréquence cardiaque moyenne est belle aussi…. (c équivalent à 95% de ma vma …)
355 partants, je me classe 132ème en 1h08:04 à 12min46
Natation (laborieuse) : 750m en 15min39 (239ème temps)
T1 + Vélo : 20km en 31min38 (130ème temps, gain de 58 places)
T2 + CAP : 5km en 20min49 (83ème temps, gain de 49 places)
J’ai fait ça plus cool…. Les conditions particuliéres de la natation (je découvre) m’ont fait perdre mes moyens (pratiquement tout fait en brasse 🙂 !!! ). Je me suis gardé pour la CAP finale sans en faire trop, le but n’était pas à la performance. En vélo, je suis resté sage, vu qu’il y avait le drafting autorisé, on pouvait pas faire grand chose à part de se fatiguer inutilement (comme en duathlon…).
On retiendra quelques passages de l’article du télégramme du 31 mars 2009:
“une épreuve raide”
“se révélant particulièrement relevé”
“Car une fois l’arrivée franchie, ils furent nombreux à répéter les mêmes qualificatifs. “Dur”. “Difficile”. Raide””
dixit le Lorientais Hervé Le Du: “J’ai été vraiment surpris de la difficulté du parcours” […] “Après les Embruns, c’est la course la plus difficile que j’ai eue à faire”.
“Ceux qui arrivèrent sains et saufs eurent les traits tirés. L’expression hagarde, le visage écarlate, mais l’œil, aussi empli de fierté et de reconnaissance.”
Le samedi matin, je retourne sur le net pour savoir quelles plateaux je monte sur mon engin. J’avais changé le 42*50 en 42*52 pour la dernière course de vélo, et j’étais un peu déçu (c’est bizarre, je m’habitue de plus en plus à emmener moins gros, et donc à tourner plus les jambes.. c bon signe). J’hésitais donc à remettre le 50 pour avoir un pédalage plus fluide… mais bon c’est vrai que les relances seront plus facile, ce n’est pas un tour de cloché que l’on fait là ! Au final après étude approfondie du parcours et surtout du forum sur onlinetri, je me retrouve avec un 39*52. Les montées risquent de faire mal… Et qui dit montée dit descente et donc le 52 pourrait être utile. Ouf… Après recul, ce fut un très bon choix. Je pense même que le 50 aurait pus être utile pour me forcer à emmener moins gros sur certains passage… et vu le vent dans les descentes….
Comme ma chérie m’accompagne, nous avons fait la route la veille, le samedi en milieu d’après-midi. Cela tombe bien finalement, vu qu’il y a le changement horaire, la nuit aurait été réellement courte si j’avais fais le voyage le matin même.
C’est donc vers les 17h30, que nous arrivons à notre chambre d’hôte à Plouray, soit à 15 minutes de route du rendez-vous ultime. Chambre très sympa. Sur les coup de 18h00, on rejoint Gourin. Je décide de reconnaitre le parcours à vélo en voiture…. Gloups… “bon dieu, ce parcours est pas si simple…” Un peu de peur, mais de toute manière, j’ai toujours préféré ce genre de parcours dans les courses habituellement : celles où on roule en peloton, et comme j’aime pas les pelotons (enfin je sais pas les utiliser et m’y cacher) , les circuits durs qui passent souvent bien dans mes jambes m’aident en explosant le peloton…. c’est aussi simple que ça !!!. Bon pour la XLF, il n’y a pas de peloton (NO Drafting purée! c’est du long et c’est ça qu’est bon !), mais un circuit dur… bé j’aime… ça doit être un côté maso ou je sais pas !!! Puis c’est clair que de sacrées différences ce feront sur ce circuit et donc sur la partie vélo.
On se retrouve de nouveau à Gourin pour la Pasta Party. Je rencontre un collègue du HAC Cylos, Stéphane L., que je ne connaissais pas, sociétaire également de Rennes Tri. Il a reconnu la parcours en vélo…. en effet ce sera pas simple !
Avant le repas, je croise Xavier Le Floch qui prend le temps de discuter… très cool. Pasta party mangé, retour direct à la chambre. Je me sens pas mal fatigué. Ce soir, tout le monde semblait unanime: il ne devrait pas pleuvoir, mais il va faire froid… J’essayes donc de trouver ce que je vais mettre. Ce sera donc à base de maillot de vélo du HAC : les combinaisons n’ont pas encore été reçu au TOCC. Maillot manche courte. J’utiliserai donc les manchettes pour couvrir mes bras pour la 1ère CAP et le parcours vélo. J’ai également le même genre de tissus pour recouvrir mes genoux (transformation du short en corsaire en gros). Il me sera donc facile de me découvrir si j’ai trop chaud. Enfin pour attaquer le vélo je rajouterai une couche (un maillot manche courte) qui aura le dossard dans le dos. L’autre a donc le dossard devant et sera porté dès le début et restera an dessous le temps du vélo. Une fois tous ces essais finis, je me couche. La nuit ne sera pas si calme que la chambre nous laissait songer. Entre le stress et la pluie qui se faisait entendre sur les velux et qui ajoutait un peu de stress…. bref une nuit un peu en plusieurs morceaux…
La tension Monte
Un bon petit déjeuner nous sera servi un peu avant 8h00. Orange pressé (humm…), pain, confiture, miel, croissant et pain au chocolat. Comme à mon habitude, le ventre est un peu serré. Je me fais tout de même plaisir avec le pain au chocolat. Un morceau de pain…. Et puis, on regagne le départ. Une longue journée commence.
Je commence à croiser les collègues du TOCC. Je prépare mon vélo. Dernier petit réglage. Je prend des conseils par-ci par là. L’ambiance est bien décontracté et le sera tout au long de la journée. Cela change de l’ambiance vélo, un peu plus stressante. Bref vraiment sympa. Petit à petit l’heure du départ se rapproche. Je m’installe dans le parc. Le temps d’échanger quelques mots avec un des favoris: Pascal Redou. On se connaissait déjà dans un autre monde 🙂 : j’étais élève à l’ENIB. Ecole où il enseigne. C’est toujours marrant de pouvoir se croiser dans un autre contexte quelques années après.
Bref, ca y est. Dernière consigne… Derniers échauffements. Le départ va être donné.
Et c’est parti !
CAP 1 : 8,5km
Ca part assez vite (enfin je trouve). Je voulais rester calme et prudent, vu que je ne me connais pas sur ce genre d’épreuve. Bref je m’étais fixé un 5min/km pour ce premier parcours. Mais, bon j’ai été un peu poussé par le rythme. D’ailleurs la montée du départ me fera un peu mal, et je vais alors sentir un léger point de côté pendant 3 ou 4 km. Après coup j’essaye de prendre un rythme cool, mais comme lors de mon premier 10km, c’est plus fort que moi et je accélère un peu à nouveau sur la fin. Ca passe facile, mais en même temps je reste sur mes gardes…. Ce n’est justement pas un 10km…. Il y a encore beaucoup derrière à faire !
Passage des tunnels, retour sur la longue ligne droite de Gourin (que l’on passera aussi en vélo). Petite dernière montée puis descente vers le parc. Je croise pas mal de vélo en train de monter. Je franchis la porte. Je suis alors 81ème (enfin sur les classés finaux, à ce moment les soucis techniques ou autres devant n’avais pas eu lieu et je devais donc être quelques places de plus). Bref 8km5 en 38min16, du 4min30/km. Pas trop mal. Ca ressemble à ma moyenne réalisé lors de mon premier 10 km il y a quelques mois. Mais la je me sens bien mieux, pour le moment.
Vélo : 96km
J’arrive près de mon vélo. Transition (comment qu’on fait ???) Je prend le temps de me chausser, le casque, mon maillot supplémentaire. Hop, je cours avec le vélo, je sors du parc, je monte… et c’est parti pour 96km.
Sur ces 3 boucles de vélo, je vais vraiment me faire plaisir. (qui a dit maso ?) Je prends direct un rythme assez élevé. Je me sens en forme. Bref sur la première boucle je vais remonter pas mal de monde. Les montées passent plutôt facilement. Même Bellevue. Bien que je me rend déjà compte que la dernière boucle sera certainement autre chose. (ca ma fait penser un peu à la dernière étape du tour des grands duc, une course à étapes en vélo assez relevé qu’on avait couru en 2007, 6 étapes en 5 jours, et le parcours de la dernière étape était 2 boucles avec une bosse assez méchante et longue. Le deuxième passage avait été très dur… surtout à plus de 30km/h dans un groupe devant…). Bref, côté vélo, ma petite expérience est tout de même là. Au début de ma deuxième boucle, j’ai le temps de faire un petit coucou à ma chérie pour la photo, tout en en espérant qu’elle passe un bon moment et ne trouve pas ça top long… C’est tellement gentil de m’avoir accompagné.
Un peu plus loin, un spectateur m’indique que je suis 53ème. “La vache, j’avais bien vu que j’avais la patate… mais bon… faut faire gaffe, il reste 2 tours…. et aussi 17km à pied…” Ca a donc bien remonté (bien que alors, je ne savais pas que j’étais dans les 80 après la cap). Sur la deuxième boucle, je continue ma remontée. Sur la troisième, je sens que le carburant commence à manquer. Je me suis pourtant asse bien alimenté. Le tour sera bouclé avec une moyenne équivalente aux autres, mais le faite de ne doubler pratiquement personne a du donner cette impression. De plus, les montées commençaient à bien tirer les jambes. J’ai tout mis à gauche pour ma dernière montée de Bellevue (39*23). Ouf !!! Quelle belle idée ce 39. J’arrive sur la descente de gourin. Je vois des coureurs qui commencent leur montée à pied. Je les encourage…. Je me sens heureux vraiment heureux d’être là….Truc de ding…. Mais mon dieu…. je vais bientôt devoir enchainer sur cette montée à pied aussi…. et le 17km…. “Comment je vais être ?”.
CAP 2 : 2 * 8,5km
J’arrive devant le parc. Je met les jambes au sol. Mon dieu…. Ca fait bizarre de se poser comme ça. Géraldine me prévient : “Je suis 34ème”. Purée…. je savais que j’avais fait un beau vélo. Mais, je vois bien que les jambes sont bizarre. Ma transition est assez rapide (trop ?) : j’enlève une couche, le casque, je chausse mes chaussures (pas besoin de faire les lacets… c’est top ces lacets de tri, achetés 1 semaine plus tôt…). Je cherche la sortie. Je commence à courir…. et la…
C’est le drame. J’ai super mal sur tout le côté droit. J’ai l’impression d’avoir une douleur énorme au tendon. Voir partout (d’où l’impression du tendon). J’ai peur… “non, pas maintenant… pas après tout ça…” Je tente de courir. Je n’arrive pas à détendre tout ça, à allonger la foulée…. Petite pause pipi pour reprendre mes esprits. Une personne vient partager mon buisson… il a également des douleurs…. Ouf… Enfin… J’ai mal….. La montée arrive …. cela n’arrange rien… je continue… c’est dur. Un collègue du TOCC, Pascal G., habitué de LD, me rattrape un peu après la montée, m’encourage d’une petite tape amicale. “Merci, ….mais ca va être dur…” Un km après , le plus gros du mal disparait… Mais j’ai toujours l’impression d’avoir des agglos à la place des jambes. Je n’arrive pas à allonger la foulée, à assouplir le mouvement… C’est dur je me traine…. 5min40…5min50/km. Ma montre ne me pardonne pas….. Je pourrai pas tenir le 5min/km espéré. Je relativise, j’ai pris pas mal d’avance sur les temps que je mettais fixé et vu que j’ai commencé cette cap à la 34ème place… j’ai de la marge pour finir dans le première moitié…. A chaque km, je me fixe le suivant comme objectif. On me double, on m’encourage. La seule personne que je double est quelqu’un qui marche…. (ça change du vélo). Je m’arrêtes bien à chaque ravito (soit tous les 4km25). Première boucle fini…. Ma chérie me voit souffrir… certains sont en train d’en finir…. La vainqueur a déjà fini.. Je dois finir… Je continue… Retour sur le fameuse montée…. j’ai l’impression de ne plus avancer…. je marcherai je serai à la même vitesse…. c’est dur….. la suite se fera à petite vitesse aussi. Chaque km se suit. Me rapproche du but. C’est long… Je calcule… C’est long….
L’arrivée !!
Enfin la descente finale… Les 200 derniers mètres…. je trouve enfin le moyen d’augmenter ma foulée (bé alors !?)…. Je passe la ligne… C’est le bonheur…. Je l’ai fait !!!! Je suis Finisher de la XLF première édition. Finisher de mon premier duathlon LD. Un duathlon, qui vu son profil reconnu très dur par les concurrents, risque de rentrer très vite dans la famille DES EPREUVES A FAIRE. Un parcours qui a tout pour plaire : exigeant et sélectif tout ça avec une organisation sympathique. Malgré la difficulté le plaisir est présent !
C’est Xavier en personne, toujours aussi souriant et accessible, qui reçoit chaque finisher. Il me remet comme à tous mon bonnet de finisher. Discute un peu…. Vraiment super sympa…. Derrière, autre grosse surprise… un magnifique buffet nous attend : sandwiches, fruits frais, tartes, fruits secs, boissons… Moi qui commençait à avoir fin pendant la 2ème boucle…. Ravi…. Ils auraient du me le dire : cela m’aurait peut être donné des ailes 🙂 !
Je retrouve enfin Géraldine. Elle a apparemment apprécié sa journée et le spectacle…. Un retour au calme qui fait du bien…. Une petite douche…. Rangement du matos… Et on part prendre le buffet servi à la suite de la remise des prix. Enfin direction Rennes…. Ce sera ma chérie qui conduira… Superbe journée… et encore merçi à ma chérie de m’avoir accompagné pour cette grosse première.
Conclusion
Je suis réellement enchanté par le monde du Duathlon Longue Distance. Je sens réellement que c’est mon truc. J’ai pris vraiment plein de plaisir… Plus que ce que j’ai connu en vélo, car autour et durant la compétition, il n’y a pas le stress de la chute, le stress des départ rapides… Les courses à étapes en vélo restent pour moi des gros souvenir mais c’est réellement mêlé à de la grosse tension, il faut toujours faire attention… nerveusement c’est dur… Là… L’effort est énorme, avec le côté qui me fait peur en moins…. Risque de réorienter mes futures saisons ? On va voir… Je vais continuer à découvrir toutes ces disciplines…. mais je sais déjà qu’il y aura d’autres Longues Distances pour moi.
En tout cas, je suis super content de mes sensations, de mon temps et de ma forme actuelle. A voir si cela paye un peu pour le vélo… Le contenu de la suite ? On verra bien.
Je pense avoir une marge de progression. J’ai nettement eu du mal sur la transition, et donc en course à pied. Il faut dire qu’à cause de mon tendon men entrainement a été nul en Janvier et Février. Je n’ai pas donc pu m’entrainer sur les transitions et en cap. Il y a un mois je n’étais même pas certain de pouvoir participer… donc c’est un résultat très encourageant !
Classement
Classement Final : 63ème sur 107 classés (141 partant) à 1h08:24 du premier
CAP 1 (8,5 km) :
Temps : 38min16 soit 4min30 / km
Place 81.
Vélo (96km) :
Temps : 3h17:18 soit 29,19km/h
Place Vélo : 28
Nouveau Classement après vélo : 34 soit gain de +53 !!!
CAP 2 (17km) :
Temps : 1h39:46 soit 5min52 / km
Place CAP 2 : 98 (boum… !)
Nouveau Classement : 63 soit gain (euh perte) de – 29 !!!
C’est le mot qui restera pour ce qui est pour moi mon premier Duathlon qui plus est Longue Distance.
Une organisation énorme… un Xavier Le Floch réellement sympathique…. avec qui j’ai pu discuter un peu le samedi soir et aussi à mon arrivée….
Compte – rendu détaillé pour bientôt, mais la dernière transition a été très très dur pour moi. J’ai eu beaucoup de mal sur les 17km de course à pieds final. Par contre, je me suis fait plaisir sur le circuit vélo, reconnu très très dur par tout le monde (mais j’aime ça….. sauf peut être la 3ème montée de Bellevue 🙂 ).
Classement Final : 63ème sur 107 classés (141 partant) à 1h08:24
CAP 1 (8,5 km) :
Temps : 38min16 soit 4min30 / km
Place 81.
Vélo (96km) :
Temps : 3h17:18 soit 29,19km/h
Place Vélo : 28
Nouveau Classement après vélo : 34 soit gain de +53 !!!
CAP 2 (17km) :
Temps : 1h39:46 soit 5min52 / km
Place CAP 2 : 98 (boum… !)
Nouveau Classement : 63 soit gain (euh perte) de – 29 !!!
Au passage, je suis un de ceux qui a gagné le plus de place en vélo, mais je suis aussi celui qui en a perdu le plus sur la CAP finale !!! (il y a un rapport ????).