Fin de Saison 2017

Même refrain que l’année dernière : fin de saison 2016. Mais cette fois la conclusion change. Oui j’ai repris via des footings matinaux pendant les vacances au camping, oui je me suis re-fait mal au dos après, NON, je n’ai pas réussi à me re-projeter sur Saint Lunaire pourtant je suis bien déjà inscris. Un DNS de plus pour cette saison 2017 donc.

Depuis début août, je m’étais reporté sur une prépa pour venir me re-tester avec un niveau potable sur le Duathlon de Saint Sulpice. Pendant les vacances, j’avais pas mal reussi à suivre le plan, moins pendant le camping, mais les footings matinaux sont également un travail intéressant. Ensuite, le dos est revenu se faire sentir, le boulot est revenu bousculé les disponibilités pour s’entrainer……

Bref, pour suivre les conseils du dernier osteo, je pense que je vais bien arrêter 2017 là. Saison qui au final n’a jamais vraiment commencé : un DNF, un finish dans la douleur, puis des DNS. Cela me rend très triste de bâcher le Duathlon de Saint sulpice…. Ma conclusion fin 2016 était : retour sur les M et sur les Duathlons…. Résultat 2017 : 0 M et 0 Duathlon….. Il y a de quoi s’interroger.

Au final, je pense que le problème ne vient pas que du dos, ou que ce dernier n’est peut être pas l’élément déclencheur.

La tête n’y est pas & beaucoup de fatigue (je me couche trop tard) –> blessure facilitée notamment au dos -> pas d’entrainement par blessure et par manque de dispo -> saison impossible à mener.

Et oui comme toujours, j’ai besoin d’avoir une tête bien ordonnée et sereine pour réussir à aborder le sport tranquillement à côté. Et pour 2018 ?, vu que maintenant mon regard se projette dans cette direction…

Même phrase qu’il y a un ans : retour des triathlon M que j’adore, retour des duathlon et si possible retour sur un évènement international de ce type (mais là faut que le niveau revienne). Mais pour commencer tout ça, reprise PROGRESSIVE, pour tenter de ne pas se re-blesser immédiatement (d’où la fin de saison, marre de me faire mal).

Oui mais. Serais assez serein pour mener une telle saison ? La tête sera t-elle libérée ? Est-ce que je vais avoir assez de visibilité pour pouvoir avoir un semblant de planification ? Vais-je retrouver des soirées et week end  ou le boulot m’occupera un peu mois (donc moins de fatigue) ?

Tant de barrière possible pour avoir un retour à une saison que je rêve. 2018 sera t-elle une 3ème « no saison » d’affilée ? Les barrière semblent nombreuses pour le moment. J’espère que la fin de l’année me permettra d’en lever certains pour pouvoir me projeter enfin sereinement sur une saison normale.

Saison 2017, DNS, ca continue

Quand ca veut pas…. ca veut pas.

Après avoir enchaine les footings à jeun durant le camping en vacances, j’ai ressenti un blocage dans la fesse droite. Blocage qui vient d’une belle contracture au milieu du dos. Bref, la course a pied est très difficile actuellement. Résultat ? DNS pour mon seul M de la saison à Quiberon. Pour un mec qui voulait refaire pas mal de M dès 2017, c’est le ponpon…. Cette saison na ni queue ni tête… 🙂

Bon quand on voit la météo prévue :

On se dit que c peut être pas si mal, surtout avec des douleurs…..

On verra si on est remis en route pour saint lunaire dans une semaine.

En espérant que le prochain post ne soit pas un DNF ou DNS 🙂

L’Alpe d’Huez

Débriefing avec un mois de retard de ma course (transformée en ballade) sur le long de l’alpe d’huez.

Malgré mon manque d’entrainement sur la saison 2017, je me suis quand même re-motivé en mode arrache pour le long de l’alpe d’huez. Retour d’un entrainement un peu plus régulier à partir du 12 Juin, soit 5semaines 1/2 avant l’objectif. Histoire de ne pas être trop ridicule et de pourquoi pas, on peut rêver, faire naitre une petite pointe de forme. Ces 5 semaines et demi prenait la suite d’un mois de mai vide (12heures).  J’étais enfin tranquille niveau bobo (dos et tendon). Après il falllait quand même faire attention à ne pas rattraper le temps perdu (60 heures d’après ce post)

Et malheureusement, l’entrainement de trop se trouva une semaine avant l’alpe…. Piscine…. Je me bloque le dos en me changeant avant le séance…..(papy, va) Je vais me retrouver totalement bloqué le week end précédant la course. 2 jours avant l’alpe, je recommence à marcher normalement, on verra si ca passe….. Décidément cette saison est maudite.

C’est donc avec une grosse famille du club (plus de 60) que je me retrouve la bas… Personellement je suis dans une coloque de 5 coureurs. Bref très bonne ambiance, et c’était pour ça que j’avais fait le déplacement. On était le club le plus représenté est on a mis de l’ambiance sur toute la semaine.. De très bon souvenir quand on a encouragé nos collégues sur le M le vendredi. C’était top….

Manque de temps d’entrainement, manque de temps de préparation du vélo. Je me retrouve donc sur place avec mon vieux salmon mais avec mes roues zipp (je n’ai plus vraiment de belle roue, j’aurai du prendre mes roues d’entrainement). Bref, :

  • 1er coup de stress, mon boyau arrière de ma zipp est total usé on me conseille de le changer…. coup de stress… et je trouve un magasin en local qui me fait ça … ouf. ca m’a occupé un peu ma matinée de la veille de course 🙁
  • Le soir même: mais mince, c pas les bons patins de freins que j’ai sur mon vélo de route (jante carbonne sur les zipp)… je cherche mais pas de solution de rechange. Resultat: ca freine, mais c’est moins efficace…. moi qui suis un pro (très nul) en descente, ca va pas m’aider à me décontracter dans cet exercice……  Décidément l’état du vélo suit l’état du bonhomme…

Gross ambiance sgt donc. Dommage que je n’était pas à mon niveau sur cette course. Je le savais avant, le dos n’a pas arrangé les choses. Cela n’aide pas le mental, forcément, et vu que tout passe par là… Si on regarde le résultat, on voit tout de suite que c’est le cas typique de course où un truc non normal s’est déroulé : mon meilleur classement est celui de mon sport où je suis le moins performant: la natation ! La seule fois où j’ai déjà fait ça, c’était sur l’ironman de Barcelone !

Temps Total : 9h27:43
Classement: 601 sur 943 partant.

Natation: 40min57 – 318ème. Un rapport de 33%, dans la moyenne de ce que je sais faire, pas plus.
Vélo: 5h54min31 – 478ème. Un rapport de 50%. Le pire jamais réalisé sur un half en vélo. Mon max avant avait été de 21%… je suis souvent classé autour de 13% !!!!
Cap: 2h44min12 – 778ème. Un classement de 82%. Again le pire jamais réalisé sur un half en cap. Suit mon précédant record de 43% en 2016 (début des années off), avant mes pires rapport était de 25% environ. Sachant que je tourne normalement plus sur un classement de 10à12% en half.

Bref on voit bien que rien ne s’est passé normalement.

Je ne fais pas une natation des grands jours. Peu d’entrainement réalisés sur ce sport où il faut etre régulier. C’est la 2ème saison d’affilé ou je séche les entrainements clubs… Bref, je dois normalement me retrouver à qqs minutes de mon niveau d’il y a 2,3 ans. Je pose ma nage. Le départ est hyper cool, et on va rarement se taper. Je vais juste avoir une crampe à la fin du 1er tour à cause d’un coup reçu. Elle passera vite. L’eau froide associé au coup à du aider à cette sensation de crampe. La natation est vraiment top dans cette eau limpide. On entend l’hélicoptére, on se prend pour des pros 🙂

Je sors. Transition très cool. Je suis pas serein dans le tête non plus (là ou tout ce joue, je le sais, mais l’historique de la saison n’aide pas).

Je pars en vélo sur un rythme cool, on peut envoyer mais je me méfie de moi même , je ne suis pas à mon meilleur niveau. Pourtant la 1ère section est très roulante. Je me fais doubler par 5,6 de mes collègues.

1er col. je retrouve mes bonnes sensations que j’ai toujours eu en montée. Dur de se dire qu’il faut faire attention alors j’envois. Je vais revoir mes collègues un par un. Je double énormément.

En haut, ou pendant le début de la descente je ne sais plus, je vais sentir la gêne au dos apparaitre….. et oui, ca me revient, on utilise quand meme pas mal le dos en montée en vélo….. Bref, déjà que je descend mal, en plus je me méfie de mes freins et en plus mon dos me joue des tours…. Dans la descente assez cool, je me fait re- doubler  par mes 5, 6 collégues … je ne les verrai plus.

Je vais faire une bonne pause au ravitaillement perso. 5 minutes facile. Je mange mes sandwitch, je discute. Ca y est la rando ffct a commencé :-).

Ca permet de retrouver qqs sensations jusqu’au déut du second cool, très progressif. Par contre le dos va vraiment me faire souffrir dans ce cool…. Impossible de m’exprimer, je me fais pas mal doubler (même en montée !). Nouvelle grosse pause en haut au ravito, je croyais jamais y arriver.  Je doute….. Un collègue me remotive « allez tu vas y arriver »…..

Je me ressaisi… je suis venu voir l’alpe…. le descente on va la gérer tranquillement : je suis nul, ca freine mal… bref je me fais doubler énormément mais j’arrive en bas de l’alpe. Je tente la montée. Cette montée…. 3 fois que j’y suis, et je sais que je l’adore.

Mon dos ne se réveille pas tout de suite mais progressivement. Je monte pas trop mal et cela se dégrade doucement. Je fais une belle pause à la moitié de la montée pour m’étirer. Je sais qu’après une pause j’ai plusieurs dizaine minutes de pas trop compliqué en douleur.

Voilà je suis en haut…. content d’y être arrivée malgré cette gêne. Maintenant place à la course à pied…. et là je vais être en mode marche par intermittence ++ (tout le 2ème tour à pied). Je suis plus trop dans les clous point de vue timing, et la motivation est basse pour me faire mal pour courir vite. Le dos raide n’aide pas. La tête non plus. Mais je suis venu pour finir, j’ai le temps, j’irai donc au bout en mode tranquille.

Voilà je suis Finisher d’un triathlon auquel j’ai toujours rêvé. 2ème course de ma saison 2017 :-(. Sans grosse préparation, sans bonne condition…. J’aurai préféré l’être dans un autre contexte, mais je suis allé au bout et c’est déjà une belle victoire après le DNF de Vichy en 2015. Bref encore une fois cela a été laborieux sur un long, mais encore une fois, tout n’y était pas.

Je garde quand même un super souvenir de la franche camaraderie de ces 5 jours. C’était vraiment top. Ca remotive 🙂 Ce club de tri est vraiment super….

Remotivé ? Surement d’après mon précédant post. Reste à savoir si la tête suivra, car tout se joue dans la tête. Il faut se ressentir « fort et invincible » et les résultats reviendront 🙂

 

 

Wake Up ?

Voilà un article que j’aurai pu écrire en septembre/octobre 2016. Je n’ai pas pris le temps de l’écrire. Et j’ai vite été rattrapé par d’autre occupation. Bref, je savais qu’il ne pourrait plus s’appliquer faute à mon emploi du temps. Ce post reste donc toujours d’actualité. On peut donc dire que la mise en place de sa conclusion a donc été reportée d’un an. En espérant pouvoir la tenir sur ce coup. J’en ai vraiment envie 🙂

Je l’ai déjà dis, certaines années phares me reste en tête :
– 2010 : 2ème année de tri avec l’embrunman
– 2011 : ma progression en cap/duathlon. participation en remplaçant de remplaçant à 2 D1 de duathlon.
– 2012 : Découverte du cross, CHpt du monde Groupe d’Age de Duathlon à Nancy. Enorme souvenir.
– 2013 : Année transitoire où je vais en profiter pour avoir ma meilleur performance sur 10km (34min26) et aussi une belle 4ème place sur un half.
– 2014 : un manque ressenti suite à 2013 m’amène à faire : Chpt d’Europe GA de Duathlon LD à Horst, Chpt du Monde de Duathlon M à Pontevedra, et pour finir un inronman à Barcelone (un peu compliqué suite à un petit accrochage avec une voiture 1 mois avant). Très très gros souvenir sur mes 2 duathlons. L’ambiance espagnole de Pontevedra était top.
– 2015 : Pas grand chose, un ironman à vichy non finie. C’est le début du creux de la vague 🙂 A noter, une impasse sur le chpt d’Europe de Duathlon M à Alcobendas (espagne) en debut de saison pour des raisons logistiques.
– 2016 : Impasse bis sur les chpt du Monde de Duathlon M à Avilés (espagne). Au final un emploi du temps difficilement maitrisable et donc pas de planification et donc pas trop d’envie. Le coût du déplacement n’était pas non plus le bien venu sur cette année.
– 2017 : Toujours cet emploi du temps qui ne permet pas de prévoir à l’avance et du coup une impasse forcée again sur les chpt d’Europe de Duathlon M à Soria (Espagne again) (annulation du booking pris ou cas où….). Des blessures récurrentes à cause du dos également (surement par manque d’entrainement).

Je reste donc sur 3 saisons, avec 3 impasse sur les compétitions que j’affectionne, qui plus est en Espagne (ambiance que j’affectionne ! « venga ! »).
Je me rend compte que ce vide de Duathlon (également locaux et pas que internationaux) me manque. Les 10km aussi (1 seul en 2016, 0 en 2017). Les triathlon M aussi….. il corresponde vraiment au type/longueur d’effort que j’affectionne et que je maitrise bien (6 en 2011, 3 en 2012, 2 en 2014, 1 en 2015, 1 en 2016,  1 en 2017 (à venir)). 

La conclusion est simple: arreter de se rater sur les XXL ou autres (sur les halfs ca passe parfois, donc je ne les cite pas). Je suis avant tout quelqu’un de rapide, et je maitrise moins la longue distance (on peut pas etre performant partout). Mais je reste attiré par ces efforts… Mais avant que je sois trop vieux, je veux donc revivre ces saison orientés vers le court et les gros événements de duathlon (avec pourquoi pas du long en fin de saison (ou début), pour profiter de la charge acquis et de la confiance acquise…. car au final mes meilleurs long se sont faite sur des saisons orientés court 🙂 )

Cette conclusion, je l’avais en tête en septembre 2016. Appuyée par ma participation au Duathlon de Saint Sulpice qui m’a confirmé que ce type d’effort me manquait (avec le gout du sang dans la bouche 🙂 bref à bloc). Je mettais alors dis, banco 2017 sera orienté sur le court, retour sur les duathlons de début de saison et cette fois-ci je ne raterai pas l’espagne avec Soria…. Mon manque de visibilité sur mes week ends dispo à fait que je n’ai pu faire aucun duathlon, ni de M en Mai/Juin, ni de Soria fin Mars.

Alors cette fois-ci je le dis, banco j’y retourne ! EN espérant avoir une visibilité pour pouvoir m’inscrire sur certains M que j’affectionne avant qu’il soit complet. Côté gros rdv duathlétique ? Depuis 2017 la donne a changée, le chpt du monde fait maintenant parti d’une semaine multi épreuves regroupant le tri LD, le duathlon S et M, le cross tri, l’aquathlon. On va peut etre un peu perdre un côté petite famille du duathléton mais peut etre qu’on gagnera en visibilité. En tout cas les structure sont par conséquent plus grosse. Cette année la 1ère avait lieu au Canada. En 2018, c’est début Juillet au Danemark (Odense)…. C’est loin vous me direz…. Oui aussi loin que Pontevedra en fait :-)…… Et d’ailleurs en 2019, c’est Pontevedra qui sera hôte ! Trop envie d’y retourner ! A voir la date.

Pour 2018 ?  L’envie y est…. Mais on va voir ce que cela implique niveau logistique/coût…. on va voir si je re-trouve une visibilité sur ma disponibilité…. et enfin et surtout on va voir si la vitesse revient… car j’avous que ca fait 2 ans que j’ai pas enchainer les 1000m en 3min24 à 3min 15…… Il faut que ca revienne….. Bref pour se motiver, à nous les 10km ! (les cross ? je sais pas, en 2012 ca m’avait boosté en 2017 ca m’a explosé le dos 🙂 ).

 

Saison 2017 ? (DNF, DNS ?)

Un petit article sur la saison 2017 avant d’attaquer le mini CR du long de l’alpes d’huez.

Ce qu’on pensait faire

Octobre 2016: Je finie une saison sans constance, sans trop de disponibilité. J’ai eu le temps de réfléchir sur ce que j’aime, ce que je gére, ce que j’apprécie.

Un constat, 2 années faste :

– 2012, 2014: à chaque fois avec de gros rdv duathlétique.

Un autre constat déjà fait :

je marche bien sur M, je transforme parfois l’essai sur L, je m’écrase au dessus.

1ère conclusion ; Envie de retourner sur le court et aussi sur le duathon. J’aime bien le du, et cela motive mes entrainement et du coup cela se fait sentir aussi sur le tri (M)….. Bref, cette corde manque à mes saisons. Le duathlon de Saint Sulpice m’a fait du bien en fin de saison 2016 !

2ème conclusion : les gros rdv de duathlon (2012; chpt du monde AG à Nancy), 2014 (à Pontevedra) me manquent aussi.

Ce que je prévoyais alors pour 2017 :

Retour sur le duathlon, via les compétitions régionales et alentours + sur le chpt d’europe fin avril en espagne (ah… les éprèves en espagne). Après saison, en fonction des dispo qui seront encore compliqués.

Et au final le programme ?

Résultat: nada, a final, 2017 a été pire que 2016, aucune visibilité sur l’entrainement, donc aucune régularité prévisible. Aucune visibilité sur les weeks end ou je serais libre, donc difficile de s’inscrire sur les tri……

Seulement 2 inscriptions se sont donc mis en place: Lacanau début mai (déplacement familiale avec le frangin), et le long de l’alpe d’huez (déplacement club, j’en rêvais, c’est une bonne occasion, bien que je serais surement juste).

Je me suis également remis sur les cross hivernaux, pensant réussir à retrouver une vitesse en cap (le retour des 34min sur 10km ?).

Ah ca aussi (les 10km) me manquent un peu.

Et donc le début de saison ?

Résultat: entrainement faible pour les cross, et je me retrouve avec le dos bien détruit à la fin des cross régionaux. Bref, kiné de mars à Avril sur ce point. Ensuite, c’est au tour du syndrome de l’essui glace de faire son apparition, et ca bloque la cap de Avril à mi juin…..

Dans cette seconde phase de blessure, je me suis rendu à Lacanau, avec un beau DNF (does not finish), la tendinite m’ayant bloqué pour la CAP. A cette époque je me demandais si au final mon DNF n’était pas un simple DNS (does not start) de la saison.

En tout cas cela a été un superbe week end en famille et je garde un super souvenir de ce tri donc 🙂

Pourquoi tant de blessure ? Peut être un entrainement irrégulier, par à coup ? peut être la vieillesse 🙂

La pression de l’arrivée du L de l’alpe d’huez m’a quand même permis obligé (tant bien que mal) à placer 5 semaines d’entrainement un peu plus classique, du moins à vélo (une Sortie Longue par semaine). J’ai reussi à y placer 3 sortie de plus de 4h30. La cap était elle en mode reprise.

Un peu de stat, avec un  petit 2017 vs ma dernière année « phare », 2014 (Duathlon Long à Horst, M à Pontevedra, et Ironman de Barcelone)

2014, cumul Fin Juin : 235 heures, 

2017, cumul à fin juin : 171 heures

Plaisir et Performance